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Il y a une véritable osmose entre nous !
May & Malcolm
L'alchimie qui règne entre May et Malcolm ne laisse personne indifférent. La créatrice de contenu et son magnifique Akita Américain font le bonheur de plus de 90 000 abonnés sur Instagram. En plus de poster régulièrement des photos et des vidéos inspirantesles deux âmes sœurs sont très engagées pour la cause animale. L’équipe rédactionnelle de Woopets est partie à leur rencontre.
Vous partagez votre vie avec un Akita Américainun chien imposant de type primitif. Comment se passe la cohabitation avec Malcolm ? Quel est son caractère ?
Malcolm est un grand chienmais il a la capacité de se faire tout petit. Il est tellement calmezen et patient que je peux l’emmener partoutmême dans le train.
L’Akita Américain se définit par le yin et le yang : d’un côté il y a la force tranquillede l’autre la puissance. Ce n’est pas un animal « pot de colle »qui réclame constamment des câlins et de l’attention. Par contreil est toujours près de son maître et le suit avec discrétion. Réservéecette race de chien n’exprime pas ouvertement ses sentimentsmais se montre très loyale.
Je me sens chanceuse de l’avoir à mes côtés. Malcolm est cool et n’a peur de rien. Nous nous ressemblons beaucoup. Il y a une véritable osmose entre nous !
D’autres animaux ont-ils posé les pattes dans votre foyer ?
J’ai eu un Highland LynxMandeldécédé d’un cancer à l’âge de 4 ans. Il avait été élevé avec sa sœur chez Yoann Latouche. Au-delà d’être très beauc’était un chat qui pouvait parfaitement cohabiter avec un chien. Je voulais qu’ils soient en phase tous les 2mais Malcolm se montrait distant envers luialors que Mandel le collait tout le temps.
Aujourd’huije ne souhaite plus accueillir de chat. On me demande souvent si je compte adopter un autre chienmais j’entretiens une relation tellement fusionnelle et exclusive avec Malcolmque je refuse. Il aime être enfant unique ! [Rires.]
<>.video-responsive{overflow:hidden; padding-bottom: 177.78%; position:relative; height:0;margin-top: 15px;}.video-responsive iframe{left:0; top:0; height:100%;width:100%;position:absolute;}>Il s’agit d’une aventure empreinte de bienveillance.
Très présente sur les réseaux sociauxvous vous définissez comme étant une « créatrice de contenu »plutôt qu’une « influenceuse ». Considérez-vous cela comme un métier ?
Je préfère effectivement le terme « créatrice de contenu » à celui « d’influenceuse »qui a une connotation péjorative. Dans l’absoluje fais partie des « petinfluencers »parce que je gère le compte Instagram de Malcolm. Je mets en avant mon chien et je partage notre vie quotidienne.

Aujourd’huije suis l’une des plus anciennes dans ce milieu. En mars 2023le compte soufflera sa 7e bougie. Pendant plusieurs annéesj’étais la seule professionnelle qui pouvait vivre de cette activité. Désormaisnous sommes une toute petite poignée.
Pour moicela ne constitue pas simplement un passe-tempsmais un métier à part entière. En effetà partir du moment où on travaille avec des marques et qu’on est rémunéréon peut considérer cela comme un job. Il faut que ce soit parfaitement cadré.
Qu’est-ce qui vous différencie des autres comptes ?
Malcolm et moi nous différencions par notre univers. Je n’aime pas copier les autressuivre les tendances ou me calquer sur des contenus viraux. Je fais en sorte que notre compte nous ressemble et que nous restons fidèles à nous-mêmes.
Quand on a son propre universon devient forcément différent. Personne n’est pareil. Le fait que Malcolm soit un Akita Américain joue aussi en notre faveur. C’est d’ailleurs le plus célèbre au monde de sa race !
Quels conseils donnez-vous aux personnes souhaitant se lancer dans la « petinfluence » ?
En plus de créer son propre universje conseille de le faire sans attendre quelque chose en retour. On ne peut pas se dire du jour au lendemain que l’on va se lancer en tant qu’influenceuravec l’ambition d’en vivre.

Si on fait un compte « petinfluencer »on met en avant l’animal. Par conséquenton doit le respecter et le comprendre. Il s’agit d’une aventure empreinte de bienveillance. Le but est aussi de créer du lien avec son animal de compagnie. Il ne faut pas le contraindre à poser pour des photos ou des vidéoscar cela se ressent et ce n’est pas ce que les internautes ont envie de voir.
Ensuiteil est indispensable de se positionner avec des marques avec lesquelles on est en adéquation. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles je suis encore présente sur les réseaux sociauxdepuis mes débuts en 2016. Mes abonnés me font confiance. Ils savent que mon chien est l’amour de ma vieet que je ne collaborerai jamais avec des marques que je ne recommande pas pour lui.
J’ai été primée pour mon engagement en faveur de la cause animale.
Malcolm_the_akita a remporté le titre de meilleur compte animalier sur les réseaux sociaux au monde ! Pouvez-vous nous en dire plus sur les World Influencers and Bloggers Awards (WIBA) et sur ce que vous avez ressenti lors de la remise des prix ?

Le jury des WIBA choisit les influenceurs non seulement par rapport à leur nombre d’abonnésmais aussi et surtout aux actions qu’ils ont réalisées. En ce qui me concernej’ai été primée pour mon engagement en faveur de la cause animale. Comme nous sommes fiers de ce titrenous l’avons indiqué dans la biographie de notre compte Instagram.
Je ne me suis même pas inscrite à ce concours digitalmais je me suis retrouvée dans les nominés… Par la suitemoi et Malcolm avons assisté à une cérémonie à Cannes. C’était tout simplement incroyable !
Pour la petite anecdotemon chien a compris qu’il avait gagné un prix. En descendant de la scèneil a explosé de joie !
Comment Malcolm est-il devenu une star des réseaux sociaux ?
J’ai créé le compte le soir même où j’ai accueilli Malcolm. À cette époqueje ne connaissais rien à Instagram et aux hashtags. Dès le premier jour de son arrivéej’ai commencé à poster des photos de lui.

Un mois plus tardj’en ai publié une prise à la dune du Pilat. Il était trop mignon avec sa tête de bébé ! [Rires.] Le lendemainà mon réveilje me suis aperçue que nous avions 10 000 abonnés. Cette photo a été l’élément déclencheur.
Au fil du tempsj’ai continué à entretenir le compte. J’ai même acheté un appareil photo de qualité pour l’occasion.
C’est bien joli de collaborer avec des marques quand on est « petinfluencer »,
mais il faut aussi véhiculer des messages et soutenir des causes nobles.
Malcolm est devenu l’égérie de Croquetteland. Et si vous nous racontiez cette belle aventure ?
Malcolm est l’égérie de Croquetteland depuis 5 ans. Carrefour avait organisé un jeu-concoursque nous avons gagné. Mon chien est ainsi apparu dans le catalogue du magasin. Par la suiteCroquettelandun actif acquis par Carrefourm’a contactée pour mettre en place un partenariat. Il s’agissait de mon premier contrat. Le groupe a découvert la « petinfluence » et la force de frappe de ce marché.
Depuis ce journous avons participé à de beaux événements ensemble. L’équipe nous fait confiance et nous laisse libres de nos communications. Bien plus qu’une collaborationc’est un vrai travail main dans la main.

Partager cette aventure avec eux s’avère tellement agréable ! Je choisis moi-même les produits parmi leur sélectionet les conseille sur les réseaux sociaux. Je sais ce qui plaît à Malcolm et à ma communauté.
Il faut savoir que je travaille uniquement avec des marques sur le long terme. Je n’aime pas faire du « one shot »mais préfère tisser des liens au fil des années.
Vous travaillez aux côtés de Yoann Latoucheexpert animalier et fondateur de l’agence YLG. Quel est votre rôle au sein de l’équipe ?
J’ai rencontré Yoann il y a 6 ans grâce au compte de Malcolm. Nous ne nous sommes plus lâchés depuis notre première entrevueà Bordeaux.
Au débutl’agence YLG proposait seulement de l’influence. Au fur et à mesurel’entreprise a grossi et ouvert de nouveaux pôles. Aujourd’huinous accompagnons aussi nos clients sur les événementsle community management ou encore les relations presse.
Mon rôle a également évolué au fil du temps. Désormaisje ne supervise plus les campagnes d’influence. Je suis responsable digitalemais je touche à tout dans l’agence.

Vous êtes très engagée pour la cause animale. Quels sont vos faits d’armes ?
Je n’hésite pas à collaborer à des projets en faveur de la cause animale ou à apporter mon aide pour de belles initiativesmises en place par des associations par exemple. J’ai notamment soutenu des refuges avec la marque French Banditmais aussi avec Croquetteland. J’ai même présenté la BD solidaire de Woopets dans mes storieset dénoncé des actes malveillants. Avec Malcolmnous avons participé à tellement d’actionsque je ne sais même plus les compter !
Ma communauté est composée de passionnés d’animaux. C’est bien joli de collaborer avec des marques quand on est « petinfluencer »mais il faut aussi véhiculer des messages et soutenir des causes nobles.
Propos recueillis par Joséphine Voisart